Nouveau blog de janvier 2024. reprenant des articles récents et des archives encore à publier.

Les conflits proches et lointains

Index général :

Mon existence sur terre est le fruit d'un héritage transmis à travers les générations, forgé par mes ancêtres qui ont traversé des époques et des contrées parfois très éloignées. Parmi eux, beaucoup ont été confrontés aux affres de la guerre, tant civile que militaire. Certains ont combattu dans divers conflits et en sont revenus vainqueurs, tandis que d'autres ont subi des blessures, la captivité ou même la mort, tués à l'ennemi.

Cette histoire ancestrale, jalonnée de conflits et de triomphes, constitue le socle de mon identité en tant qu'individu et me rappelle la force et la résilience de ceux qui m'ont précédé. Je suis le fruit de leurs histoires de vie, l'homme que je suis existe et vit aux travers d'eux.



Passionné par l'histoire, je suis particulièrement fasciné par les destins des hommes qui ont combattu, parfois au prix de leur vie.

En explorant mon arbre généalogique, j'ai été frappé par le nombre impressionnant de personnes reliés à mon arbre ayant péri dans les conflits armés:

  • 29 hommes ont trouvé la mort en tant que soldats lors de la Première Guerre mondiale.
  • 19 hommes et femmes ont été tués en tant que soldats et résistants durant la Seconde Guerre mondiale.
  • 3 hommes ont perdu la vie en tant que soldats pendant la guerre du Vietnam.

    Ce chiffre ne tient bien sûr pas compte des nombreux autres soldats blessés ou capturés, ni même des civils innocents victimes de ces guerres. Chaque nom découvert représente une vie brisée, une famille endeuillée, et un rappel poignant des sacrifices consentis pour défendre nos libertés. Mon intérêt pour l'histoire s'accompagne désormais d'un profond respect pour ces hommes et femmes qui ont donné leur vie pour un idéal.


    Index des différentes guerres

  • Première guerre mondiale
  • Seconde guerre mondiale
  • Guerre du Vietnam
  • Autres conflits et guerres

    Légende photo : WWII Officier Américain et un membre de la résistance, la libération est proche ...

    Je ne crois pas du tout à l'astrologie, mais je suis du signe des gémeaux, double personnalité ?

    J'ai une fascination pour les histoires des hommes et des guerres, je savoure pourtant la paix d'une existence épargnée par les combats. La perspective de devoir me battre et risquer de me faire tuer, cette vie si précieuse à mes yeux s'en aller par la volonté d'un ennemi, me glace d'effroi. L'être humain est un paradoxe : nos passions peuvent nous mener loin de nos réalités, nous incitant à explorer des univers aux antipodes de notre quotidien. Cette curiosité insatiable est une force motrice, nous poussant à contempler la complexité de l'âme humaine, capable de bâtir des cathédrales de rêves et de déchaîner des tempêtes de destruction.

    Si la diplomatie prévaut sur toute forme de violence, elle n'est pas une solution miracle. Il existe des situations où le recours à la force est la seule option viable. Face à un ennemi qui méprise toutes les valeurs éthiques et morales et avec lequel il est impossible de transiger, la guerre peut s'avérer le seul moyen de rétablir la paix.

    Lorsque j'ai été appelé à faire mon service militaire, j'étais tiraillé entre deux sentiments contradictoires :
  • D'une part, je n'étais pas tenté à l'idée de devenir soldat et potentiellement être amené à devoir prendre les armes, surtout prendre le risque de me faire tuer ;
  • D'autre part, je ressentais le devoir d'apprendre à faire la guerre pour défendre mon pays en cas d'agression ou invasion ennemie.

    J'était réservé quant à la durée de ce service militaire bien trop longue, j'en reviendrai ci-après. En définitive, le service militaire a été suspendu et je n'ai pas eu à le faire.



    Est-ce une bonne idée de ne plus former les jeunes l'art de la guerre ?

    La structure de l'époque du service militaire le rendait obsolète. La plupart des jeunes de mon entourage ayant effectué leur service militaire, y compris ceux qui aspiraient à une carrière militaire, ont exprimé leur déception. Le rôle du conscrit se résumait souvent à des tâches subalternes et à subir les brimades de sous-officiers frustrés, plutôt qu'à apprendre le maniement des armes et les techniques de combat.

    Il me semble logique que le service militaire devrait viser, outre le respect et l'obéissance, à inculquer l'art de la guerre, les notions de positionnement stratégique et la capacité à défendre son pays en cas d'agression. Consacrer un certain temps au service de son pays est un noble devoir, à condition que ce service s'effectue dans le respect de l'individu et qu'il dispense la formation adéquate pour affronter une éventuelle agression ennemie.



    Que penser du retour de l'obligation du service militaire ?

    Face à cette proposition, je reste perplexe. Il me semble plus judicieux d'offrir aux jeunes la possibilité de choisir entre un service militaire et un service civil de durée équivalente. Par ailleurs, n'est-il pas illogique de consacrer près d'une année au service militaire pour ne plus jamais être rappelé ensuite, alors que les technologies et les techniques de guerre évoluent à un rythme effréné ? Ne serait-il pas plus pertinent de raccourcir la durée du service militaire, tout en y dispensant les connaissances fondamentales, et de prévoir des rappels réguliers pour rafraîchir les acquis et s'adapter aux changements technologiques ?

    Le conflit en Ukraine met en lumière la persistance des guerres conventionnelles impliquant des fantassins, contrairement aux discours ayant accompagné la suppression du service militaire. Dans cette optique, le rétablissement d'un service militaire adapté aux réalités actuelles me paraît pertinent, à la fois pour susciter l'intérêt des jeunes envers une carrière militaire et pour former l'ensemble de la population aux techniques de combat.



    Le modèle suisse du service militaire obligatoire est souvent cité comme un exemple de réussite.

    Il permet de former une réserve de citoyens soldats relativement bien entraînés, tout en limitant la durée du service militaire initial à 18 semaines, suivi de 6 rappels de 3 semaines sur une période de neuf ans avant d'être libérés de leurs obligations militaires. Ces rappels permettent aux anciens conscrits de se maintenir à niveau et de s'adapter aux évolutions militaires.



    Le modèle suisse est critiqué pour son coût et son caractère contraignant. Cependant, l'argument du coût face à l'avantage d'une réserve d'hommes formés au combat n'est pas recevable. La capacité à défendre le pays est primordiale, et l'intégration de ce service militaire dans une armée européenne devrait être envisagée. Le caractère contraignant peut effectivement constituer un frein, mais il doit être relativisé au regard de l'objectif initial.


    Ce qu'écrivait Gandhi dans "Young India" en 1920 :

    "Je crois que s'il fallait, un jour, choisir entre la lâcheté et la violence, je conseillerais la violence. Je préférerais que l'Inde ait recours aux armes pour défendre son honneur, plutôt que de devenir lâchement le témoin de son déshonneur."

    Cette citation me parle énormément car c'est l'histoire de notre pays !
    L'honneur de nos soldats en 1914 et 1940 de prendre les armes et tenter par tous les moyens de repousser les envahisseurs Allemands, d'utiliser la violence nécessaire quelque soit le prix humain à payer pour ne pas être asservi par l'ennemi, il n'y a aucun déshonneur à faire la guerre et le cas échéant à mourir pour son pays.

    Si j'avais eu 20 ans en 1914 ou en 1940, je me serais certainement engagé comme volontaire de guerre pour me battre et œuvrer à aider à mon petit niveau à sauver mon pays et ma famille de l'envahisseur, quel qu’en soit le prix à payer pour ma petite personne, fût-il une blessure, la capture ou la mort. M'engager à la guerre n'aurait été ni de l'héroïsme ni du courage, rien que l'idée est terrifiante, au pire peut-être l'envie d'aventure d'une jeunesse insouciante, cet engagement aurait été avant tout une question de devoir en tant qu'homme, d'honneur et de respect vis-à-vis de l'être que je suis, en conformité avec mon éducation et mes convictions personnelles.

    I'm a handsome soldier, huh? I'm an American soldier, I'm coming to you, surrender! 🪖
    Ne dites rien, je sais j'ai mes moments de folie, j'assume 😁 tant que c'est pour du fun on peut en rire.

    Réflexion toute personnelle sur l'homme et les guerres

    En tant qu'essayiste, je m'attaque à un sujet très vaste avec cette réflexion. Je suis un homme qui ne se laisse pas imposer une règle ou un point de vue, mais qui analyse les situations en prenant en compte tous ses aspects. Dans le cadre de cette analyse, pour répondre à certaines questions, je lis dans des lieux spécialisés les points de vue divergents des uns et des autres. Je me fais une première opinion globale, mais je vais bien plus loin dans ma réflexion pour avoir un avis éclairé.

    Pour mieux appréhender les questions d’éthique ou imaginer le ressenti de l’homme dans une situation extrême et d'y répondre de la manière la plus circonstanciée possible, je me mets mentalement en scène comme un rôle d'acteur qui vit son personnage, j’inverse la situation en me mettant dans la peau du soldat concerné. J’essaie de ressentir sa vie, ses angoisses, sa peur, parfois sa mort. Ce n’est pas un rôle facile car il s’agit d’un sujet complexe ou l’analyse de l’état psychologique d’un homme dans l’enfer d’une guerre est difficile à discerner.


    Je suis dans l'écriture d'une réflexion des hommes et des guerres

    Elle est cours de rédaction, lorsque je serai prêt à la publier, vous trouverez un lien ici-même.

    En attendant, vous trouverez ci-dessous une brève réflexion sur le sujet :

    La vie n'est pas un long fleuve tanquille

    Ayant franchi le cap de la cinquantaine, mon regard sur le monde et les hommes qui le peuplent s'est affiné, j'ai appris à accepter la réalité crue de la guerre : elle a toujours fait partie de l'histoire de l'humanité et continuera de la hanter tant que les hommes existeront.

    La violence est ancrée dans notre nature, alimentée par des passions telles que la soif de pouvoir, la peur de l'autre et les nationalismes aveugles. Les guerres, sous diverses formes, ont toujours existé, et il est illusoire de penser qu'elles disparaitront miraculeusement à l'avenir. En tant qu'homme, je suis également confronté à la question du devoir de défense. Il est juste de prendre les armes pour protéger son pays mais jusqu'où peut-on justifier la violence au nom de la patrie ?

    Ce que je sais, c'est que la guerre est une abomination qui engendre des souffrances indicibles et laisse des cicatrices indélébiles. C'est pourquoi nous devons tout mettre en œuvre pour les éviter, même si nous savons que bien souvent elles sont inévitables, il est nécessaire d'accepter de faire usage de la violence face à un ennemi dépourvu de tout sens d'humanité.

    Nous devons honorer la mémoire des victimes des guerres, ces hommes sacrifiés sur l'autel de la folie humaine. Leur souvenir doit nous motiver à lutter contre la violence, même si nous savons que la guerre continuera à exister. Les efforts diplomatiques et les initiatives de paix ne suffiront jamais à éradiquer totalement les guerres. L'homme belliqueux trouvera toujours des motifs pour s'entretuer.

    Passer la cinquantaine m'a amené à accepter la dure réalité de la guerre. Il n'y a pas de solution miracle, mais nous devons nous engager à minimiser ses horreurs et à protéger les plus vulnérables. C'est notre devoir envers l'humanité, envers les générations futures et envers la mémoire de ceux qui ont péri dans les conflits passés.

    Depuis l'aube de l'humanité, la guerre a toujours été présente,
    marquant l'histoire de son empreinte sanglante, détruisant les hommes que nous sommes.



    Mon corps, un explorateur des confins humains, je suis un penseur

    Ma peau, mon enveloppe charnelle, est ma carapace, mon refuge face aux tumultes du monde,
    mais mon corps, tout entier, se transforme en un vaisseau d'exploration,
    voguant à travers les tumultes de l'existence humaine.
    Mes sens, aiguisés par l'observation et l'expérience, me servent de boussoles
    pour naviguer dans les méandres de la vie.



    Je suis témoin des atrocités commises par l'homme contre son semblable

    Mes explorations mentales me mènent dans les ruelles sombres des villes en guerre,
    où la violence gronde et où la mort rôde.
    Des cris déchirants des soldats qui meurent et du regard vide des survivants,
    mon esprit reste lucide, analysant les mécanismes de la destruction et les rouages de la folie humaine.

    Je m'aventure dans les champs de bataille, où le sol est jonché de cadavres et l'air lourd des effluves de la mort,
    mon corps se charge de l'empreinte de la fin de vie, me rappelant la fragilité de l'existence et l'absurdité de la guerre.

    Je suis un penseur, un explorateur des confins humains

    Les guerres permettent aux hommes de légalement tuer d'autres homme, de vies à en prendre d'autres,
    un paradoxe vivant, tiraillé entre l'instinct de survie et l'ordre ou la nécessité de tuer.

    La mort rôde autour du soldat, une compagne familière et redoutée,
    chaque jour est une danse sur le fil du rasoir, chaque seconde une éternité suspendue entre la vie et la néant.



    Le soldat est entraîné à tuer et est préparé à mourir

    La frontière entre les deux s'estompe, devient floue,
    la ligne entre le bien et le mal se brouille, se dissout dans le brouillard de la guerre.
    Un homme ordinaire plongé dans l'extraordinaire, confronté à l'horreur et à la beauté de l'humanité
    dans sa forme la plus brute. Je vois la cruauté et la compassion, la haine et l'amour,
    la destruction et la création, coexistant dans un ballet macabre.

    Le soldat est une machine de guerre

    Le soldat est aussi un être humain avec un cœur qui bat, une âme qui pleure et un esprit qui questionne.
    Il se bat pour une cause, pour un idéal, pour un monde meilleur peut-être, mais il sait que le prix est élevé,
    effroyablement élevé. Un paradoxe mortel, un homme tiraillé entre deux destins, entre la vie et la mort.
    Il vit et il meurt, il aime et il haït, il crée et il détruis, dans un tourbillon de contradictions qui le consume et le définit.

    Le soldat est un fragment de l'histoire

    Il est un rouage dans la grande mécanique de la guerre.
    Il laisse sa trace dans le sang et dans les larmes, dans les cris et dans le silence,
    le soldat est avant tout un homme qui veut vivre, préférant tuer qu'être tué.





    En tant qu'essayiste, je me penche sur un sujet très large en abordant cette réflexion.

    Malgré les difficultés, ma vie est mon bien le plus précieux.
    Si ma carapace corporelle la protège, à la guerre un ennemi peut facilement la détruire
    laissant s'écouler mon sang et ma vie si précieuse s'échapper.

    Comment un homme réagit-il face à un ennemi qui s'apprête à le tuer

    Quid de l'homme face à lui prêt à lui trouer sa précieuse petite peau, à lui ôter la vie ?
    Son regard se pose sur l'homme en face de lui, ses yeux sont froids et déterminés,
    son visage crispé par la concentration. Il est un soldat comme lui, un outil de guerre, programmé pour tuer.



    Face à l'ennemi, le soldat s'interroge sur l'âme de cet homme

    Eprouve-t-il lui aussi la terreur qui le tenaille ?
    Se tourmente-t-il à l'idée de sacrifier une vie humaine ?
    Ou au contraire, savoure-t-il la cruauté de son acte, mettre fin à la vie de son ennemi ?

    Mais le temps presse, le doigt de l'adversaire se crispe sur la détente,
    le soldat, pétrifié par la peur, attend l'inévitable.
    Le monde se fige, suspendu à l'imminence de sa mise à mort.

    Un brouillard envahit ses pensées. La silhouette de son ennemi se précise devant lui,
    son arme pointée vers sa poitrine. Son cœur tambourine dans sa cage thoracique
    un rythme effréné qui semble vouloir s'échapper. La mort, cette réalité qui se tapissait dans l'ombre de la bataille,
    se dresse maintenant devant lui, implacable et certaine.

    Le souffle coupé, le soldat se fige, paralysé par une terreur glaçante.

    Il sait que sa fin est proche. Une balle transpercera son corps,
    il ne sera plus qu'un souvenir, un corps inerte gisant sur le sol,
    un cadavre ensanglanté, vaincu par la main ennemie.

    Un éclair, une détonation. La douleur explose dans sa poitrine, lui souffle un hurlement de détresse.
    Le monde s'écroule autour de lui, se transformant en un tourbillon de couleurs et de sons.
    La chute est lourde, puis plus rien. Le vide. Le silence.
    Son corps étendu à terre, inerte, l'homme n'est plus, son ennemi l'a vaincu.



    Je suis bien conscient que je ne suis qu'un mortel, mais il y a la raison et la manière de mourir.

    J'éprouve une immense gratitude de n'avoir jamais eu à subir les atrocités de la guerre,
    de n'avoir jamais été soldat et d'avoir ainsi préservé mon intégrité physique,
    de ne pas avoir risqué de me faire trouer cette précieuse petite peau qu'est mienne.

    Cela étant dans certains circonstances, mourir tué au combat peut être rendu nécessaire,
    c'est une mort honorable pour protéger ses proches, et un acte légitime de la part de l'ennemi dans les affres de la guerre.
    Mais lorsque le soldat tombe tué sous le feu ennemi, c'est l'homme derrière le soldat qui en subit les conséquences tragiques.

    Derrière l'uniforme, le casque et les armes, se cache un être humain avec ses rêves, ses peurs et ses aspirations.
    Un fils, un père, un frère, un ami, un amoureux arraché à ses proches, à sa vie.
    Une vie brisée, un avenir envolé, une famille endeuillée.

    La mort du soldat n'est pas seulement une perte pour l'armée, c'est une tragédie humaine.

    C'est la disparition d'un individu unique, irremplaçable, dont la vie avait une valeur inestimable.
    Elle nous rappelle la fragilité de la vie et la nécessité de profiter des instants de paix.

    Les soldats s'en vont, leur tâche accomplie : la mise à mort de leur ennemi

    Je suis dans l'écriture d'une réflexion des hommes et des guerres

    Elle est cours de rédaction, lorsque je serai prêt à la publier, vous trouverez un lien ici-même.



    La vie est belle en dehors des guerres, profitons-en tant que nous le pouvons !

    La vie qui nous est offerte est fragile, nous sommes des êtres de passage profitons-en au mieux. C'est maintenant que nous devons agir, vivons notre vie de la manière la plus épanouie possible. Suivons notre chemin de vie et saisissons chaque instant de bonheur qui nous est offert.



    Voyons notre vie comme une grande aventure, apprécions pleinement chaque instant de vie, accomplissons nos rêves les plus fous, apportons de l'amour aux êtres que nous chérissons. Nous sommes en droit d'avoir peur de la manière de mourir, mais n'ayons nulle crainte de notre mort en tant que telle, quelle qu'en soit la cause, notre mort est tout naturellement le bout de notre grand voyage ou nous rejoindrons le royaume de nos aïeux, au ciel ou ailleurs...

    Le meilleur enseignement de la vie et de la mort n'est-il pas celui de nos aïeux ?
    La généalogie me fait vivre dans un monde d'aïeux qui ont vécu leurs vies, leurs grandes aventures, puis le voyage terminé ils sont partis, tout naturellement.
    Citation de Michel Serrault "Je n'ai plus peur de la mort depuis que j'ai appris que je ne serai pas le premier à passer par là".

    Mon papa est décédé en décembre 2023, je suis à la fois triste de son départ je l'aimais énormément, le meilleur des papas, mais je suis heureux qu'il soit enfin en paix, soulagé de ses douleurs. La fin de vie peut être difficile, la mort un soulagement.

    Vivons tant que nous le pouvons puis disparaissons tout simplement, sans crainte ni regret...