Toutes époques à ses guerres, il ne se passe pas un jour sans que des hommes soient tués sur différents fronts et différents continents, en voici quelques-uns...
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Tant qu'il y aura des hommes, il y aura des guerres, il y aura des crimes !
La violence semble inhérente à l'humanité, une plaie qui traverse les âges et ensanglante l'histoire. Depuis la nuit des temps, les hommes se sont entre-tués, se livrant à des guerres et commettant des atrocités. Face à ce constat amer, les vœux pieux de paix dans le monde sonnent creux, comme une ironie cruelle face à la réalité.Comment nier l'instinct belliqueux qui habite l'homme ? Comment ignorer les innombrables conflits qui ont jalonné notre passé ? L'espoir d'un monde pacifique est illusoire, la nature humaine n'évoluera jamais, l'homme est et restera un guerrier. Quand j'entends des voeux de bonne année souhaitant la paix dans le monde, n'est-ce pas risible, comment ignorer à ce point l'histoire de l'humanité ?
La violence, sous ses formes les plus barbares, semble traverser les siècles, se manifestant à la fois dans la fureur des guerres modernes et dans les spectacles sanglants du passé. Des combattants bangladais s'acharnent sur un collaborateur pakistanais, le tuant à coups de baïonnette sous les yeux d'une foule avide de sang.
Un écho funeste des gladiateurs romains, ces combattants d'antan dont les mises à mort servaient de divertissement à une foule en liesse.
Le pouce tourné vers le bas, le public romain signifiait son désir de voir l'homme vaincu mourir, influençant ainsi la décision de l'empereur.
La baïonnette remplace le glaive, mais la soif de violence et le spectacle de la mort demeurent, illustrant la part sombre et intemporelle de l'humanité.
Des peintures rupestres aux jeux de guerre, en passant par les récits historiques et les films d'action, la fascination pour la violence se manifeste de multiples façons.
L'évolution de l'être humain est un leurre. En son for intérieur, il n'est qu'une bête sauvage qui n'est capable de vivre en société que dans un contexte favorable. Des lois sont créées pour lui donner un cadre et lui dicter ses actions. Sans ces balises, l'homme perd toute notion du bien et du mal, sa capacité à se contrôler est mise à rude épreuve et bien souvent il sombre dans l'anarchie. De manière plus globale, quel homme n'a jamais souhaité ou imaginé - dans un moment de stress ou colère extrême - la mort d'un autre individu ? Son étique en tant qu'être humain et son libre arbitre lui permettent dans la grande majorité des cas de contenir ses pulsions, mais en tant de guerre un soldat armé et entraîné à tuer, si son libre arbitre n'est pas nécessairement complètement perdu, il peut être sérieusement compromis.
Dès l'aube de l'humanité, la guerre a toujours été présente, marquant l'histoire de son empreinte sanglante, l'homme est un chasseur d'hommes, il est belliqueux. Je suis conscient que c'est une grave accusion sur les hommes, c'est d'autant plus difficile à assumer étant moi-même un homme qui a un profond respect pour la vie humaine, mais le psychisme de l'être humain est très complexe et démontre sa fragilité dans des situations extrêmes. Tout homme est capable de tuer dans un contexte qui dépasse sa capacité à raisonner. La guerre ouvre la chasse à l'homme, l'interdit est levé, l'homme non seulement peut, mais doit tuer.
Tant que l'homme vivra il y aura des guerres, les hommes continueront à s'entre-tuer, quelqu'en soit la raison.